Médecin Ostéopathe Paris

Dr Ivan Raduszynski

74, Avenue Paul Doumer C.I.R.M.

75116 Paris

01 47 27 85 00

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Fiches d’exercices pour le dos

Exercices pour le dos

Etirements des muscles de l’avant de la cuisse: quadriceps

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exercice d'étirement du quadriceps droit antérieur

Etirements des muscles de l’arrière de la cuisse: ischio-jambiers

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exercice d'étirement des ischio-jambiers

Tonification musculaire de la sangle abdominale: grands droits

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exercice de tonification des abdominaux grands droits

Tonification musculaire de la sangle abdominale: les obliques

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tonification des muscles obliques de l'abdomen

Etirements des muscles de la colonne vertébrale: les psoas

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exercice d'étirement des psoas

Etirements des muscles de l’arrière de la jambe: triceps sural

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exercice d'étirement du triceps sural

Tonification des muscles de la colonne vertébrale: auto-grandissements assis

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exercice d'auto-grandissements assis

Exercices pour le dos

Etirement global du dos: “la prière mahométane”

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étirement global du dos la prière mahométane

Lutte contre l’enroulement des épaules

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exercice lutte contre enroulement épaules

Etirements du haut du dos et des épaules

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Lien vers le site universitaire de Nantes:  auto-rééducation de la colonne vertébrale

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Accidents de la course à pied

course à pied

Comme tout sport, la course à pied peut causer des traumatismes, heureusement le plus souvent mineurs. Ces accidents peuvent aussi bien concerner le coureur de compétition que le coureur de loisir. Le plus souvent il s’agit de traumatismes tendino-musculaires, plus rarement articulaires ou osseux.

tendinite d'Achille

Accidents de la course à pied

 

Les tendinites les plus fréquentes touchent le tendon d’Achille, certains tendons externes du genou (syndrome de la bandelette ilio-tibiale, dit “de l’essuie-glace”) ou les ischio-jambiers, à l’attache située sous la fesse. On constate aussi des accidents musculaires, allant de la simple contracture du mollet (jumeau externe) à la déchirure ou claquage (jumeaux, ischio-jambiers…) en passant par l’élongation, qui est un stade intermédiaire.Les accidents à proprement parler articulaires concernent la cheville (entorse) ou le genou (lésions méniscales, inflammations cartilagineuses).

Certaines lésions osseuses, comme les fractures de fatigue, concernent le plus souvent les os du pied (métatarsiens) et font suite à une périostite, qui est une inflammation de la membrane qui entoure l’os due aux micro-traumatismes répétés créés par les impacts au sol et que le coureur n’a pas soigné à temps : c’est le classique « ça va passer tout seul… » aux conséquences parfois très fâcheuses. Comment limiter le phénomène? La pratique de la course à pied en “loisir” doit rester avant tout un plaisir et tout coureur devrait se laisser « écouter son corps » et adapter ses sorties et son entraînement aux réactions de celui-ci.

La pratique régulière d’étirements musculaires des membres inférieurs, surtout après la course, le respect d’une bonne hydratation, par des prises de boissons répétées surtout chez les coureurs faisant des sorties longues, supérieures à une heure, sont les mesures les plus importantes à respecter. L’utilisation d’eau minérale riche en bicarbonates limite l’accumulation d’acide lactique dans les muscles. Des chaussures de course adaptées, en bon état, changées au moins une fois par an sont essentielles. Le port de semelles orthopédiques adaptées pour la course à pied, prescrites après examen médical et bilan des chaînes musculaires, est parfois nécessaire. Il existe souvent des problèmes spécifiques liés à l’état musculaire (raideur constitutionnelle des muscles des membres inférieurs) ou articulaire (antécédents traumatiques, présence d’une fragilité des cartilages du genou, problèmes vertébraux lombaires…), ou bien d’autres facteurs de risque liés à l’état général du patient ou encore à son âge, qu’il vaut mieux prendre ne compte avec l’aide du médecin.

Le problème devient plus complexe quand le coureur pratique la course à pied en compétition. Pour cela, il augmente parfois son entraînement sans suivre la progression qui lui conviendrait, ce qui peut occasionner des blessures avant-même qu’il n’accomplisse son objectif. Les reprises d’entraînement après blessure sont aussi une phase délicate où se mêlent de manière contradictoire les exigences du coureur et les réponses de son appareil musculaire et ostéo-articulaire… C’est là que joue l’expérience du coureur ainsi que son tempérament…

La course à pied est un magnifique sport, mais comme tout autre, sa pratique ne peut se départir des limites que le corps peut imposer et que tout coureur aimerait repousser. Le médecin-ostéopathe joue à la fois le rôle d’un thérapeute, par des manipulations articulaires des membres et parfois des vertèbres et d’un médecin de prévention par des conseils d’exercice de renforcement et d’étirement musculaire.

Fédération Française d’athlétisme: le running

Les infiltrations

Les infiltrations

 

Cette injection locale est un geste simple pratiqué par votre médecin dans des cas bien précis. Très utilisées par les rhumatologues, les infiltrations sont également pratiquées par les médecins de médecine physique et réadaptation, certains généralistes, ainsi que par les radiologues (infiltrations radio-guidées) et certains chirurgiens orthopédistes.

On peut utiliser cette technique en tant que traitement anti-inflammatoire local dans des affections comme les tendinites aiguës (infiltrations péri-tendineuses), les sciatiques ou les cruralgies (infiltrations épidurales), les syndromes du canal carpien (infiltrations péri-nerveuses) ou l’arthrose (infiltration intra-articulaire).

Le produit médicamenteux utilisé dans la majorité des infiltrations est un dérivé corticoïde. Il vous sera prescrit par votre médecin après s’être assuré de l’absence de contre-indication.

Ce geste nécessite une asepsie stricte, grâce à une double désinfection par l’acool et l’acool iodé, afin d’empêcher tout risque d’infection dans l’articulation (arthrite septique).

Un autre type d’infiltrations intra-articulaires n’utilise par la cortisone, mais l’acide hyaluronique pour le traitement de l’arthrose, en particulier pour l’arthrose du genou. On parle alors de visco-supplémentation. Il s’agit d’un prococole réalisable classiquement en 3 injections espacées entre elles d’une à deux semaines. Certains produits s’injectent en une seule fois, mais il s’agit alors d’un volume plus important. Le médecin détermine le meilleur protocole selon chaque cas. 

Dans les pathologies articulaires ou péri-articulaires moins inflammatoires, à chaque fois que cela sera possible, il faudra proposer une alternative thérapeutique sans corticoïdes comme la mésothérapie.

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infiltration de l'épaule

Qu’est-ce qu’une infiltration?

Réactions après une séance d’ostéopathie

Réactions après une séance d’ostéopathie

Dans environ un cas sur trois peuvent survenir des réactions physiques mineures après une séance d’ostéopathie.

Il s’agit le plus souvent de sensations de fatigue, de courbatures, ou de douleur passagère.

Ces réactions peuvent survenir dans les heures ou dans les 2 jours qui suivent la séance d’ostéopathie. Elles durent de quelques heures à un ou deux jours.

Elles s’expliquent par la stimulation-réflexe des structures tendino-musculaires et nerveuses qui a lieu lors des manipulations et qui résultent de l’étirement des tissus.

Rappelons que ces réactions ne sont pas systématiques. Elles ne correspondent pas à une aggravation de la pathologie mais ne sont que de nature réflexe et sont limitées dans le temps.

Ces réactions peuvent survenir aussi bien après une manipulation vertébrale structurelle (qui “craque”) qu’après une technique ostéopathique myotensive (énergie musculaire) ou même fonctionnelle (Jones, fascia, etc.).

Le médecin-ostéopathe tient toujouts compte de ces éventuelles réactions. Il demande au patient avant chaque séance si ce dernier en a ressenties lors des séances précédentes.

smiley triste

Manipulations des membres supérieurs et inférieurs

ajustement ostéopathique de la clavicule

Manipulations des membres supérieurs et inférieurs

L’ostéopathie n’est pas réservée à la conne vertébrale. Elle peut être utilisée souvent pour taiter les membres. Voici quelques exemples de douleurs mécaniques des membres qui peuvent être traitées par ostéopathie:

épaule « bloquée » par un conflit de la coiffe des rotateurs,

– restriction du coude sous l’épicondyle,

– suites d’entorse du poignet,

– certaines dysfonctions des ménisques du genou provoquant une limitation des mouvements et des craquements,

– raideur de la cheville après une entorse,

– certaines douleurs de la plante du pied et des métatarsiens.

Chaque situation doit faire l’objet d’un diagnostic précis avant toute décision de traitement. Lors de la consultation, l’interrogatoire et l’examen clinique sont essentiels et très souvent suffisants. Une échographie, une radio, un scanner ou une I.R.M. permettent dans les autres cas de déterminer quel est le meilleur choix thérapeutique pour chaque patient.

Voici un exemple de manipulation ostéopathique du pied

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